UNE MER QUI S'APPELLE BANQUISE
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Voici Baffin en ses temps ordinaires, qui racontent la longueur des jours, les couleurs de noirs, de blancs et de brumes, les effroyables profondeurs. Voici la terre de l’immobile, du figé, du glacé, la terre du possible et de l’impossible. Voici la mer et le ciel qui mélangent leurs âmes, voici l’aube et la fin des temps. (Photos sous copyright. Pour toute utilisation, merci de bien vouloir contacter l’auteur)